Le 15 avril 1966, le célèbre journal américain Time titre « London : The Swinging City ». Outre-Manche, Londres brille par ses symboles comme The Beatles ou The Who, mais aussi par ses icônes de mode telle que Mary Quant et Twiggy. La capitale devient synonyme de dynamisme et de vitalité attirant ainsi la nouvelle génération britannique et étrangère. Les succès artistiques se multiplient et révolutionnent le monde de la culture. Les grandes zones commerciales deviennent des lieux de rencontre, où vendre n’est plus l’unique objectif. Seul point noir à l’essor de la capitale britannique, les années 60 marque l’apparition de courrier et d’articles signé « The Crow ».
TRIGGERS : descriptions uniquement, les mentions ne me dérangent pas — violences physiques et psychologiques ; harcèlement ; meurtre ; ts ; scènes gores ; violences et abus sexuels
MÉTIER : à l'université dès la rentrée 2023, Alÿs a finalement choisi de se tourner vers les arts, bien qu'elle reste persuadée de n'avoir aucun talent.
— elle a été abandonnée à la naissance — elle a des origines africaines mixtes (algériennes et "autres", c'est tout ce que le test ADN a su lui dire) — elle est végétarienne depuis ses dix ans — elle a un grand amour pour les animaux — a déjà été arrêtée plusieurs fois, bien qu'elle n'ait pas de casier judiciaire — a longtemps été propriétaire d'un lapin, "Croquettes", qui s'est enfui quand elle avait treize ans — a peur du noir — a été une enfant maltraitée en arrivant à Londres, par la famille d'accueil qui devait l'adopter — connaît le langage des signes — est en école d'Arts et rêverait d'aller faire les Beaux-Arts à Paris, ou du moins un échange éducatif avec un élève de cette école. —
Alÿs est une jeune femme très introvertie qui cache non seulement son introversion mais ses malaises derrière de grand sourire et des discours toujours plus grands les uns que les autres, ce qui lui vaut d'avoir la réputation d'être terriblement bavarde. Mais, si on y prête réellement attention, tout ce qu'elle dit ne dévoile jamais rien d'elle. Elle s'efforce toujours d'avoir un discours léger, dominé par des traits d'humour qu'elle s'efforce de mettre en avant, comme une carapace protectrice. Elle est une amie fidèle, parfois à la limite de l'irresponsabilité, c'est vrai, mais quiconque la connaît sait qu'on peut compter sur elle. Elle ne va jamais au delà des limites, le "non retour" étant quelque chose à quoi elle a souvent été témoin, se refusant, à son tour, de tout perdre pour ce genre de chose. Quelque part, c'est une battante, une combattante, quelqu'un qui ne lâche rien. Mais si vous le lui dites, elle risque avant tout de rougir, de baisser les yeux et de refuser le compliment, préférant se dénigrer s'il le faut, afin de ne pas être dans la lumière, ou du moins pas dans ce genre de lumière. Car elle préfère être pimpante, enthousiaste et pleine d'esprit que d'être celle que l'on souligne, celle qui a vécu tant de choses difficiles dans sa jeune vie.
Si Alÿs a tout de la jeune femme rangée, obéissante, traditionnelle et "dans les clous" selon ses aînés, elle cache sur une de ses cuisses un énorme tatouage qu'elle a fait à ses seize ans, avec la complicité d'une fille du foyer où elle était, qui cache une cicatrice dûe à une chute dans les escaliers, dont elle a toujours tu la cause (notamment parce qu'elle ne s'en rappelle pas, étant donné qu'elle n'avait que trois ans et que c'est pour cette raison qu'elle n'a pas été adoptée) et qui est l'accident de trop qui a fait avorter son adoption, quand elle avait trois ans.
METHODE DE RP : Pronoms : 2e & 3e personnes ━ rythme : 2 fois/mois sûr ━ entre 300 et 800 mots (possibilité d'aller au dessus) ━ passé simple ou présent en fonction de l'inspiration
#(SAMALYS) et maintenant, on se remue le popotin, retrousse les manches et celui qui finit sa vaisselle le plus rapidement a gagné, ok ?
Sam 7 Sep - 12:52
Vivre avec Samaël ça n'a jamais été une chose compliquée pour toi. Bien sûr, il faut apprécier d'avoir une personne toujours pleine d'énergie avec soi, et c'est souvent vite fatiguant, surtout quand on est une personne comme toi, qui aimes bien avoir sa tranquillité pour vivre ton introversion. Enfin, ça ne t'empêche pas de faire la discussion chaque fois que l'endroit est trop calme ou qu'il y a du monde. Après tout, tu n'es toi-même pas toujours de tout repos. Mais bon, t'as quand même levé le pied sur les appels en pleine nuit pour qu'il vienne te chercher au poste de police parce que tu étais *tousse tousse* au mauvais endroit au mauvais moment. Gaia toujours autant capable de te sortir de légalement des mauvaises passes, tu y vas mollo désormais, entre les quelques réprimandes agaçantes de Sam qui, lui, a été en prison, et le fait qu'avec ton école d'arts, tu te dois d'être le plus irréprochable possible si tu veux un futur dans le domaine (déjà que c'est pas évident quand on n'a pas les contacts, hein...).
Deux sachets pleins de tes courses, accrochés à ta poignets, tu n'es pas vraiment discrète quand tu rentres ce jour-là. il n'est que dix-heures, mais tu peux voir que la nuit de ton coloc, passée sur le canapé ne s'est pas terminée, depuis une bonne heure que tu es partie, dans son lit. Et elle ne s'est pas terminée non plus. Tu ne sais pas s'il est sorti ou s'il a juste joué aux jeux vidéos toute la nuit, mais dans tous les cas, vu le bazar que tu peux déjà apercevoir - tu l'as sciemment ignoré en partant - dans l'évier, les hypothèses sont nombreuses. Le pied embourbé dans la table, tu la fais grincer malgré toi en essayant de te dégager. Rien. Tu te racles la gorge. Rien non plus. Tu soupires. Ah ! heureusement qu'il est sympa, quand même.
- Sam ? HÉ SAM ! Debout. C'est quoi ce bordel, là ? Bon, celui qui fait que ton pied est embourbé, c'est le tien. Mais avec ton menton, alors qu'il a ouvert un demi œil, tu lui montres clairement l'évier. Allez, bouge, lève-toi. Et viens m'aider s'il te plaît, j'arrive pas à me dégager.
Dernière édition par Alÿs Hawthorne le Mar 15 Oct - 20:34, édité 1 fois
Samaël Rosenduft
Londoner
MESSAGES : 113
PSEUDO : Ajar
TRIGGERS : on peut en discuter au préalable. De façon générale, tout ce qui est violences sur mineurs/sur animaux ou violences psychologiques
WARNINGS : emprisonnement
AGE : 30
MÉTIER : journaliste
METHODE DE RP : Je rp autant que possible, autant en tu qu'a la troisième personne. En terme de nombre de mots, je peux faire du 300 comme du 1000, je m'adapte à mon/ma partenaire !
#(SAMALYS) et maintenant, on se remue le popotin, retrousse les manches et celui qui finit sa vaisselle le plus rapidement a gagné, ok ?
Mar 17 Sep - 19:53
T’as toujours apprécié vivre avec Alÿs, si bien qu’en fait, c’en est presque étonnant. T’as jamais aimé vivre trop les uns sur les autres. Ce qui est, quand on y pense, paradoxal quand on te voit agir avec tes pairs : toujours sautillant, p’t-être un peu trop . Toujours énergique : sans doute, un peu trop, même toi, tu te fatigues toi même, avec tes idées farfelues. Tu essaies de ne pas abuser quand même. Quand tu fais des appels avec tes collègues de la rédaction, tu essaies de le faire à des horaires convenables, mais c’est parfois difficile pour toi, t’as toujours préféré vivre la nuit. Ceci dit, faire tes réunions avant te permet de travailler dans le calme de la nuit et ça, tu adores. Tout est une question de calage sur le rythme de l’autre, sans doute. Même aller la chercher au poste, ça ne te dérange pas : tu n’es pas dupe, ça fait quand même beaucoup de « mauvais endroit mauvais moment », mais ça te fait rire. Malgré tout, tu ne peux pas t’empêcher de lui rappeler qu’il faut qu’elle fasse attention. Ce n’est pas en taule, qu’elle arrivera à se faire un nom. Tu sais de quoi tu parles et tu apprécies Alÿs, t’as envie qu’elle réussisse.
T’as bossé toute la nuit, ce soir là. Suffisamment pour que tu t’endormes sur ton clavier, littéralement, le pc sous l’oreille : un oreiller aurait été un support plus confortable, mais ta fatigue n’a rien voulu en savoir. T’étais tellement décalqué que tu n’as pas entendu ta coloc partir. En revanche, tu l’as bien entendue rentrer. Son pied dans la table, la faisant grincer bruyamment, les sacs de courses, dont t’as l’impression qu’ils font un bruit du démon. Tu grimaces et relèves difficilement la tête « hm... » la bouche pâteuse, tu ouvres non sans try hard une paupière laissant entrevoir ton regard vitreux du mec qui n’a dormi que deux, peut-être trois heures tout au plus. Tu frottes ton visage, essayant de te réveiller comme tu peux « ‘lÿs ? C’est pas une heure pour tout déménager, vas y j’finis ma nuit et on en parle après. Bonne nuit ma belle ! » perclus de fatigue, tu retombes aussi sec sur ton matelas. Tu grognes en l’entendant insister et finis par te lever : tu sais qu’elle ne lâchera pas, de toutes façons « c’est bon, j’arrive ! Doucement ! » tu bailles et viens dégager son pied, puis attrapes l’un des sacs de commissions qu’elle ramène « faut vraiment qu’on investisse dans un lave vaisselle. » que tu pestes, en prenant soin d’occulter la vision d’horreur de ta vaisselle sale qui traîne dans l’évier : tu y vas à reculons. D’abord, tu ranges ce qu’il y avait dans le sac et hésites : clairement t’as la flemme. « Sérieux qu’est ce que je t’ai fait pour mériter ça ?! » que tu lances en ralant, amusé, à Alÿs. Tu te sers un bol de céréales et, lentement, te mets à nettoyer sans aucun entrain.
Le bonheur est à la portée de tous
Tant qu'il est vrai que le bonheur est tolérant; qu'il fond de surcroît au hasard sur la plupart des gens
anaphore
Alÿs Hawthorne
London lover
MESSAGES : 562
PSEUDO : Blueberry Hills
TRIGGERS : descriptions uniquement, les mentions ne me dérangent pas — violences physiques et psychologiques ; harcèlement ; meurtre ; ts ; scènes gores ; violences et abus sexuels
MÉTIER : à l'université dès la rentrée 2023, Alÿs a finalement choisi de se tourner vers les arts, bien qu'elle reste persuadée de n'avoir aucun talent.
— elle a été abandonnée à la naissance — elle a des origines africaines mixtes (algériennes et "autres", c'est tout ce que le test ADN a su lui dire) — elle est végétarienne depuis ses dix ans — elle a un grand amour pour les animaux — a déjà été arrêtée plusieurs fois, bien qu'elle n'ait pas de casier judiciaire — a longtemps été propriétaire d'un lapin, "Croquettes", qui s'est enfui quand elle avait treize ans — a peur du noir — a été une enfant maltraitée en arrivant à Londres, par la famille d'accueil qui devait l'adopter — connaît le langage des signes — est en école d'Arts et rêverait d'aller faire les Beaux-Arts à Paris, ou du moins un échange éducatif avec un élève de cette école. —
Alÿs est une jeune femme très introvertie qui cache non seulement son introversion mais ses malaises derrière de grand sourire et des discours toujours plus grands les uns que les autres, ce qui lui vaut d'avoir la réputation d'être terriblement bavarde. Mais, si on y prête réellement attention, tout ce qu'elle dit ne dévoile jamais rien d'elle. Elle s'efforce toujours d'avoir un discours léger, dominé par des traits d'humour qu'elle s'efforce de mettre en avant, comme une carapace protectrice. Elle est une amie fidèle, parfois à la limite de l'irresponsabilité, c'est vrai, mais quiconque la connaît sait qu'on peut compter sur elle. Elle ne va jamais au delà des limites, le "non retour" étant quelque chose à quoi elle a souvent été témoin, se refusant, à son tour, de tout perdre pour ce genre de chose. Quelque part, c'est une battante, une combattante, quelqu'un qui ne lâche rien. Mais si vous le lui dites, elle risque avant tout de rougir, de baisser les yeux et de refuser le compliment, préférant se dénigrer s'il le faut, afin de ne pas être dans la lumière, ou du moins pas dans ce genre de lumière. Car elle préfère être pimpante, enthousiaste et pleine d'esprit que d'être celle que l'on souligne, celle qui a vécu tant de choses difficiles dans sa jeune vie.
Si Alÿs a tout de la jeune femme rangée, obéissante, traditionnelle et "dans les clous" selon ses aînés, elle cache sur une de ses cuisses un énorme tatouage qu'elle a fait à ses seize ans, avec la complicité d'une fille du foyer où elle était, qui cache une cicatrice dûe à une chute dans les escaliers, dont elle a toujours tu la cause (notamment parce qu'elle ne s'en rappelle pas, étant donné qu'elle n'avait que trois ans et que c'est pour cette raison qu'elle n'a pas été adoptée) et qui est l'accident de trop qui a fait avorter son adoption, quand elle avait trois ans.
METHODE DE RP : Pronoms : 2e & 3e personnes ━ rythme : 2 fois/mois sûr ━ entre 300 et 800 mots (possibilité d'aller au dessus) ━ passé simple ou présent en fonction de l'inspiration
#Re: (SAMALYS) et maintenant, on se remue le popotin, retrousse les manches et celui qui finit sa vaisselle le plus rapidement a gagné, ok ?
Mar 15 Oct - 20:51
Bon, si tu devais braquer une banque, tu finirais vite en prison compte tenu de ta discrétion. Mais tu hallucines quand même du temps qu’il a mis à relevé la tête. Sciemment ou pas ; après tout, si tu as ignoré le bazar de l’appartement en partant, il peut bien ignorer la délicatesse digne d’un éléphant dans un magasin de porcelaine dont tu fais preuve. Tu fronces les sourcils, bien que fortement amusée par son discours on ne peut moins articulé.
- Pas l’heure ? Mais, Sammy, il est déjà dix heures du matin ! C’est pas l’heure de te rendormir, allez, allez, viens m’aider à ranger les courses, faire la vaisselle ou peu importe ! mais tu n’as pas besoin de le demander, il est déjà en chemin, ça t’amuse juste d’être un peu directive, comme ça. C’est marrant, quoi. Le canapé, ça va bien deux minutes, mais quand même.
Tu éclates de rire.
- Demande plutôt à quelqu’un de se cotiser pour ça, parce que c’est pas avec ce que je gagne qu’on va investir dedans ! Il est super gentil, Sam. Si bien qu’il en oublie parfois que tu ne donnes quasiment rien pour le loyer, parce que tu n’en as pas les moyens. Ton budget, quand il ne part pas pour tes pinceaux, il part directement dans les courses. C’est pour ça que t’as les mains pleines, d’ailleurs. Tu lui lances un regard suspicieux, non sans être empreint d’un sourire. T’as sali, tu nettoies. C’est ta règle, tu l’as oublié ? Mais en vrai, même avec toute la mauvaise foi dont il fait preuve, tu lui trouves toujours ce côté comique qui fait de lui cette personne que tu apprécies et avec qui tu apprécies vivre.
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#Re: (SAMALYS) et maintenant, on se remue le popotin, retrousse les manches et celui qui finit sa vaisselle le plus rapidement a gagné, ok ?
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