NOM(s) & PRENOM(s) : Marty Hopkins ÂGE/LIEU DE NAISSANCE : 46 ans, il est né à Perth, en Écosse un vingt-deux mai mille neuf-cent-soixante-seize. ORIENTATION SEXUELLE : Le regard attiré par les baigneuses à la ronde. Il a toujours préféré les courbes féminines. SITUATION  AMOUREUSE:Il est veuf, et vit seul depuis maintenant seize ans. MÉTIER : Développeur de jeux vidéos A LONDRES DEPUIS : Le décès de sa femme, Ally. Il a décidé de partir avec sa belle famille, avec qui il a toujours entretenu de très bonnes relations. Il a cependant fait ses écoles supérieures ici, ce qui a rendu son choix de s'installer ici assez évident; la nostalgie de la bonne vieille époque.GROUPES: Black Flag. Il aime sa famille, il est prêt à tout pour elle. Pourtant, il se sent totalement perdu et sans attache depuis le décès d'Ally. En fait, il recherche par tous les moyens une façon de vivre de nouveau ce grand frisson, celui qu'elle lui faisait ressentir. Un goût de liberté. AVATAR: Ryan Reynolds. COPYRIGHT : La plus belle des plus belles, merci à ma Wanky préférée ! MON PERSONNAGE EST : inventé. WARNINGS : Mort d’un proche/phobie sociale/dépression/feu...

Particularités — sourire bright de pub de dentifrice, toujours aussi bien peigné que dans une pub de shampoing antipelliculaire, Marty est le pro des fausses apparences. Car derrière ce qu'il montre à qui veut bien l'entendre (un type propre sur lui et bon sous tous rapports), il est de ceux qui, dans la vie privée frôlent avec la limite: il aime l'odeur de la cigarette, quand les gosses sont mal peignés ou le "ça peut plus durer". Ainsi, aussi discrets soient ils, il a quelques tatouages, comme une longue vue, sur son poignet: elle lui rappelle de toujours regarder les choses sous un nouvel angle. Les autres, multiples mais disparates, racontent quelques étapes de sa vie: pour ne jamais oublier.
Caractère — Les gens pensent de moi que je suis quelqu’un de responsable et renfermé sur lui même depuis la mort d’Ally. C’est d’ailleurs cette raison qui m’a poussé à déménager. De là à dire que je suis fuyard, il n’y a qu’un pas, qui n’est d’ailleurs pas loin d’être franchi. Mais les gens disant de moi que je suis également une grande gueule, ils savent qu’ils risquent un retour de bâton auquel ils ne survivraient probablement pas: vous savez ce qu’on dit: œil pour œil ma main dans ta gueule.

Mon fils, lui, vous dirait sans doute que je suis probablement le plus irresponsable des pères, que j’ai manqué de le tuer un nombre incalculable de fois, et que de nous deux, c’est lui le plus adulte. Et le plus beau gosse. Et le plus… ouais. Bon, ok, j’en rajoute certainement. Je ne sais pas vraiment ce que dirait mon fils. Que je suis immature, très certainement. En même temps, un père qui joue aux jeux-vidéos toute la journée, qu’est ce que ça peut bien être d’autre ? tout semblerait confirmer cette hypothèse. Mais ce dont je suis certain, en revanche, c'est que mon fils sait ce qu'il en est vraiment: j'ai p't-être pas été toujours correct. La vérité, c'est que je ne l'ai jamais élevé: je me suis élevé avec lui. Je n'ai pas eu la chance de ceux qui s'improvisent parents à quarante piges. Mais l'important, c'est l'amour qu'on se porte.

Ce que pense les gens ne m'importe pas le moins du monde. Chacun vit sa vie comme il le peut, fin de l'histoire: est-ce que j'irais me mêler des affaires de ma voisine et de sa place de parking ? allooooo t'as quatre-vingts ans et pas le permis, laisse-la ta foutue place ! spoiler alert : non. Cependant, les gens auraient raison sur une chose: depuis la mort d'Ally, je ne sors plus vraiment. Tout ce à quoi j'ai pu me raccrocher ? mon fils, notre nouvelle vie dans une nouvelle ville, et mon métier de developpeur. Faut dire que celui là m'a pas mal servi d'excuse, pour ne pas sortir "je vérifie les bugs de zelda breath of the wild !" Marty, Marty, Marty, peut-on te rappeler que tu ne travaille même pas chez Nintendo ? oupsy. La réalité ? C’est que depuis qu’Ally est partie en fumée tout comme le bateau duquel je n’ai pas réussi à l’extirper, j’ai pour ainsi dire peur… de tout. D’aller à la mer, d’abord : ça, il en est absolument hors de question. Des bateaux, ça, ça va sans dire : si les films d’horreur ne me font pas grand-chose, montrez moi Titanic pour me voir me pisser dessus : effet garanti. J’ai aussi peur du feu, à tel point que ma « gazinière » n’en a plus que le nom. Ses plaques sont électriques, tout comme son four à chaleur tournante. Comment ça, il pourrait y avoir un défaut électrique qui pourrait tout de même mettre le feu à ma baraque ? Certes. Mais… je ne peux pas ne pas manger. Les compromis avec soi-même sont aussi importants que les compromis avec autrui. Parfois, cette peur est si forte qu’elle me paralyse. Je ne sais pas si ce sont des excuses toutes trouvées, dans tous les cas, c’est ainsi. Et cela fait de moi quelqu’un de procrastinateur : je remets tout à demain. Sauf quand il s’agit de développer mes jeux. Je sais bien que pour beaucoup, ce monde de pixels n’est pas réel, mais pour moi, il est un véritable refuge. Une chance de tout recommencer, qui ne me rendra pas la mère de mon fils, mais dans lequel je peux la rendre immortelle, si je le décide. Et ça, ça n’a pas de prix. Fuyant, donc, vous l’aurez compris, je ne le suis pas vraiment. En fait, je suis de ceux qui se lèvent et vont au combat dès le départ. Parce qu’il est important de pouvoir protéger ses convictions. Et que j’ai effectivement une grande gueule. Mais bon, chacun ses petits défauts. C’est d’ailleurs ce que j’ai toujours voulu apprendre à mon fils, arrivé lorsque, moi même j’étais en pleine crise identitaire. Faut dire qu’à seize ans, beaucoup de choses peuvent arriver ; et on trouve le monde dégueulasse. Mais qu’est ce qu’on peut y faire ? Se battre. Comme on peut. Et être juste avec ses proches. Aimant. Et protecteur. Et surtout… se fabriquer beaucoup de souvenirs. La vie n’est qu’une vaste blague, ça, j’l’ai compris bien tôt. Sans doute pour ça que j’ai préféré vivre avec mon fils dans l’humour : la vie était assez cruelle ainsi sans qu’on se prenne au sérieux. Et pour ce qui est du reste, voilà deux trois trucs à savoir sur moi puisqu'apparemment, vous tenez à ce que je me présente.

01. Marty est né un vingt-deux mai, en mille-neuf-cent soixante dix-seize à Perth en Écosse. Après quelques complications et quelques semaines en couveuse, il découvre finalement son foyer et grandit auprès d'une famille aimante, et ne manque de rien, malgré la pauvreté de ses parents.  02. à l'adolescence, la situation familiale ne s'arrange pas vraiment. Ses parents peinent à joindre les deux bouts, et mettent une pression monumentale sur les épaules de Marty, afin qu'il réussisse dans ses études: ils ne veulent pas le voir dans la même situation qu'eux. Mais vous savez ce que l'on dit: l'enfer est pavé de bonnes intentions. Marty perd pied face à tant d'attentes à son égard, il rechigne de plus en plus à rentrer chez lui, angoissé de ne pas être à la hauteur. 03. De plus en plus, il traine dehors avec ses amis avant de rentrer du lycée. C'est d'ailleurs ainsi qu'il rencontrera celle qui deviendra la mère de leur enfant. Première relation pour tous les deux. Peut-être la plus symbolique pour beaucoup. En tous cas, pour Ally et Marty, elle demeura la plus importante, puisqu'elle leur donna leur fils, Marvin...de là à dire que la vie est une maladie sexuellement transmissible... demandez ce qu'il en pense à son Fils ! 04. Malheureusement, si les parents d'Ally acceptent leur décision de garder l'enfant, c'en est tout autrement pour les parents de Marty, avec qui il finit par se facher et perdre contact au fil des ans. Pour pouvoir élever leur fils convenablement, les parents d'Ally proposent au couple d'adolescents de faire de leur sous-sol inutilisé une dépendance où ils pourront s'établir. 05. C'est  dans ce microcosme que Marty continue ses études sans relâche. Comme pour tenir cette promesse qu'il avait faite à ses parents, mais aussi et surtout pour réaliser son rêve: celui de devenir développeur de jeux vidéos. Il a vingt-cinq ans lorsqu'il termine ses études et est embauché pour la première fois dans une grosse société spécialisée dans le jeu vidéo06.Marty profite de cette expérience pour faire ses armes et se montre talentueux et plein de ressources. Tandis qu'il travaille sur les projets de la boite, il travaille également de son côté sur ses propres jeux-vidéos. Son but, devenir développeur indépendant.07.C'est à ses trente ans qu'il parvient enfin à ses fins. Pour fêter ça, il décide d'emmener son fils et Ally, devenue sa femme depuis leurs vingt et un ans, passer un weekend en mer sur un bateau de plaisance. Mais en pleine nuit, un défaut électrique déclenche un incendie dans la cabine. 08.Marv sort en premier, suivi de près par Marty, convaincu que sa femme suit. Il fait demi tour lorsqu'il s'aperçoit qu'elle est restée prisonnière des flammes. Malheureusement, il n'arrivera pas à la faire sortir, celle-ci succombant face à la toxicité des fumées avant qu'il ait pu faire quoique ce soit.09.Marty et Marv tentent tant bien que mal de se reconstruire et de panser les plaies encore fraîches de la disparition de la femme de leurs vies. Malheureusement, son souvenir étant trop présent dans les recoins de Perth, il devient invivable pour Marty de rester ici, et il décide de partir avec son fils, direction n'importe où.10. Ce n'importe où ? Londres. Doucement mais sûrement, son fils et lui se fondent un cocon sécurisant, où tous les deux vivent en frères. En même temps, leur différence d'âge, faible, n'aide probablement pas à mettre de la distance entre eux. Et d'un autre côté, Marty a besoin de sentir son fils auprès de lui pour ne pas sombrer.11.Marv étant adulte, il a pourtant fini par quitter le cocon familial: c'était couru et pourtant, Marty ne parvient toujours pas à s'y faire. La solitude, il ne l'a jamais aimée et aujourd'hui, il préfère s'enfermer dans les jeux qu'il créée plutôt que d'affronter ses vieux démons. Son animal totem ? l'autruche: il cache sa tête dans le sable à la perfection.

SI TU ÉTAIS UN ÉLEMENT NATUREL CE SERAIT ...? ET SI TU ÉTAIS UNE SAISON ? ... Difficile à dire. Je sais que je ne serais certainement pas le feu, pour des raisons évidentes. En fait, plus j'y réfléchis, plus je me dis que je pourrais être l'eau: car quoiqu'il arrive, elle continue son chemin, inlassable: il n'y a que sa forme, qui change. Son essence même, elle, reste inchangée. Et puis, "méfiez vous de l'eau qui dort", c'est quelque chose d'assez vrai, pour moi aussi. J'peux être très gentil, comme je peux être extrêmement con, si l'on me cherche de trop. Pour ce qui est de la saison, je dirais le printemps. Il y fait ni trop chaud, ni trop froid et les parcs retrouvent ces couleurs qui me manquent tant, en hiver. Le moment idéal pour tenter une sortie. Ou pas.
SI TU ÉTAIS UNE VILLE ? Llanfairpwllgwyngyllgogerychwyrndrobwllllantysiliogogogoch . Non, j'me suis pas endormi sur mon clavier, j'ai pas non plus fait de crise d'épilepsie. Je voulais 1) rendre hommage à ce pays fascinant qu’est l’Écosse, aux paysages magnifiques dignes du seigneur des anneaux et... 2) avouons le, vous regarder galérer, à tenter de prononcer ce nom. Dieu c'que c'est drole, de vous voir essayer aussi dur ! (sinon, ça se dit comme ça. )

ES TU NÉ À LONDRES ? QUELLES VILLES AS-TU VISITÉ OU AIMERAIS-TU VISITER ? J'ai déjà à moitié répondu à cette question précédemment, je suis né à Perth. Mais je connaissais déjà Londres, après tout, ma belle famille étant née ici et moi, en Écosse: C’est le même ramassis d'îles ! en somme, les Britanniques sont un peu ces cousins bobos que j'aime taquiner en faisant des trucs un peu sales pour les faire sortir de leurs gons. Mais la vérité, c'est que je les aime. Énormément, ça va de soi. Sinon, je ne me serais pas établi ici avec mon fils ! pour les villes que j'ai déjà visité... il y a : une bonne partie des villes d'Écosse, ça va de soi (oui, même celle au nom imprononçable !), quelques unes d'Irlande (c'est très beau, Dublin le jour de la st Patrick !), et d'autres villes d'Europe: Paris, Athènes, Genève, Milan, ou encore Barcelonne. Et je ne compte pas m'arrêter là ! Amsterdam, Bruxelles, ou encore quelques villes en bord de mer, dans le sud de la France, voilà mes prochaines destinations. En fait, j'aimerais visiter tous les pays d'Europe, pour commencer. Et pourquoi pas aller ailleurs, ensuite ?
CROIS-TU AU GRAND AMOUR OU AU COUP DE FOUDRE ? J'y ai cru. Ally était tout pour moi. Mais depuis, je ne suis plus à l'aise avec l'idée de pouvoir m'attacher un jour: j'aurais trop peur de souffrir de nouveau. Mais qui sait, peut-être qu'avec le temps et la bonne pers... Come on ! stop la mièvrerie. Ca devient gênant, là. et surtout pas réaliste.

AS-TU DE BONS RAPPORTS AVEC TA FAMILLE ? ES-TU TOUJOURS EN CONTACT AVEC EUX ?Ma seule famille est celle d'Ally. Je ne parle plus à mes parents, depuis qu'ils ont refusé de connaître leur petit fils. Cela fait trente ans que je n'ai plus revu ceux qui m'ont mis au monde et j'avoue avoir peur d'apprendre par la bande qu'ils sont morts et enterrés depuis longtemps. Pour ce qui est de mes beaux-parents, nous nous entendons toujours aussi bien. Ils ont pris avec moi une sorte de place de parents de substitution, un soutien indéfectible, aussi fort lorsque notre Al était encore en vie qu'aujourd'hui: tous les quatre, avec Marv, nous restons soudés, même si nous ne les avons pas vus depuis quelques temps maintenant. Par manque de temps.
TON MEILLEUR ET TON PIRE SOUVENIR C’ÉTAIT… ?Mon meilleur souvenir ? En fait, il y en a plusieurs. Ma rencontre avec Ally, d'abord. Puis l'annonce de l'arrivée de Marv, le top du top ayant été son arrivée. Je ne l'ai jamais dit à ce petit con, mais je crois que ça a été ça, le plus beau jour de ma vie. Bien sûr, j'avais peur du haut de mes 16 ans. Mais quand j'ai posé mon regard sur lui, j'ai su que je pourrais faire n'importe quoi pour cette crevette.

Mon pire souvenir bien sûr, vous vous en doutez. Je pense à cette nuit où Ally a perdu la vie. D'ailleurs, j'en cauchemarde fréquemment . J'aurais du pouvoir la secourir. J'aurais du. Mais ça n'a pas suffi. Elle est partie en fumée, tout comme nos projets ensemble. Depuis, j'ai peur de tout, ou presque. Le feu, la mer, et surtout de perdre ceux que j'aime.

AS-TU UNE PETITE MANIE ? OU PLUSIEURS ? QU’EN PENSENT TES PROCHES ? Lorsque nous vivions encore à Perth, je vérifiais plusieurs fois par jour le gaz, après l'incident. Maintenant que je suis passé au "tout électrique", je suis un véritable emmerdeur avec mes lumières. Sinon... comme tout enfant qui se respecte, je ne peux pas commencer ma journée convenablement sans céréales devant n'importe quel animé. Dernièrement, j'ai terminé One Piece pour la 8e fois, et je repars maintenant sur Cat's Eyes. Moi ? immature ? shhhh. Tais toi ou j'te tais !

QUELLE EST TA DEVISE ? POURQUOI ? "Qui avale une noix de coco a confiance en son anus". "crois en tes rêves", pour les plus softs d'entre vous. Mon fils m'a toujours regardé bizarrement, à chaque fois que j'ai pu prononcer cette phrase. Je ne comprends toujours pas pourquoi , je la trouve très philosophique. Tout comme "c'est en voyant un moustique se poser sur ses testicules que le jeune sage comprend que la violence n'est pas toujours la solution." à méditer.

QUEL ÉTAIT TON RÊVE DE GOSSE ? ET TON RÊVE D’ADULTE, C’EST QUOI ? Mon rêve d'enfant, c'était d'être Zelda. Lorsque j'ai compris que ce n'était pas possible, j'ai alors rêvé d'être aviateur. Mais ma mauvaise vue et mon vertige m'en ont très vite dissuadé. Bye bye la patrouille de France qui m'avait donné l'envie dévorante de m'élever vers les cieux. Et bonjour... à mon rêve d'adulte qui, paradoxalement, est le rêve d'enfant de beaucoup d'autres: devenir développeur. Après tout, l'avantage d'un jeu vidéo, c'est encore que le temps de quelques heures, nous pouvons être qui nous voulons. Un aventurier. Un super-héros. Pourquoi pas une boule jaune avalant des billes. Voire pour les plus utopistes, une meilleure version de nous même !

TON ALBUM PRÉFÉRÉ ?Around the world des Daft Punk. On pourra dire ce qu'on veut, mais quand même: ils ont su mettre une véritable claque au monde de la musique ! et... à moi, par la même occasion, qui m'enjaille toujours autant sur one more time, que je massacre à la perfection.

ET SI TU ÉTAIS UN MORCEAU DE MUSIQUE, CE SERAIT QUOI ?  Freed from desire parce que... Les années 90, y'a qu'ça de vrai, en terme de musique ! Gala, Robert Miles, Ou encore mon plaisir coupable: les Worlds appart, NOM DE DIEU ! c'est quand même autre chose que les daubes que l'on peut entendre en radio ! Il suffit que j'entende les deux premières notes de ce morceau pour commencer à sentir l'énergie me revenir si par malheur elle venait à manquer. Et puis... J'aime beaucoup ses paroles.

Sinon, dans un tout autre style, j'pourrais sans doute être Gasolina, de Daddy Yankee. ou n'importe quel morceau de Kate Bush: derrière ma tête à claques, il y a un coeur qui bat ! (Mais même s'il ne le sait pas, j'écoute bien plus les morceaux que mon merdeux de fils a mis sur internet. Achetez son album lorsqu'il sortira ou je me fâche !!)

MISS ME ?

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