METHODE DE RP : J'écris à la seconde personne, je fais environ 500 mots mais je peux faire plus, je fais très peu de fautes, je m'adapte à mon partenaire, je peux écrire en écriture inclusive lorsque la situation s'y prête.
OOTD Dans ta vie Sehun tu as commis énormément d’erreurs. Des moches, des stupides, des ridicules, des moins importantes que d’autres, des dramatiques qui t’ont coûté ta santé mentale… Tu restes un être humain, un homme qui plus est. Mais là, il y a quelques mois tu as commis ta première et unique erreur professionnelle. Effectivement, depuis cinq ans tu voyais ce jeune homme. Un patient parmi tant d’autres comme tu aimais tellement te le dire alors qu’il n’était pas comme tous les autres. Rien à voir. Non pas parce qu’il est original ou quelque chose du genre mais parce qu’il est juste lui-même. Kim Junhyuk. Un mec vraiment déstabilisant sur différents aspects. Ce petit jeu de séduction qui s’était installé entre vous au fil du temps n’avait que trop duré. Le jour du Summer Bank Holiday, une journée importante pour les Britanniques qui a lieu fin Août, tu as invité ton désormais ancien patient au restaurant pour une consultation privée. Une consultation incongrue au cours de laquelle tu n’as eu de cesse de le draguer et le jeune homme en faisant autant. Vous vous êtes chauffés au restaurant, il a terminé sous la table et t’a même donné du plaisir sous la table tu étais intimidé par tout ceci d’autant plus qu’en bon sale gosse qu’il est il savait pertinemment qu’il allait trop loin et il en jouait plus que de raison et ça ne semblait pas non plus l’arrêter. Et toi non plus il faut le dire. Parce qu’après ce moment tu l’as ramené chez toi et tu lui as fait l’amour. Tu aurais pu juste te contenter de ce moment sensuel pendant qu’il était sous la table mais insatiable que tu es tu en as voulu plus et lui aussi. Tu t’en mords les doigts encore aujourd’hui d’autant plus qu’après ça tu es sûrement allé trop loin en rejetant le jeune Kim comme un malpropre en te refusant à entretenir une relation avec lui alors que tu lui avais pourtant fait l’amour. Tu aurais pu le baiser brutalement mais sur le moment tu en as été incapable et il semblerait qu’il ai apprécié ce moment autant que toi puisqu’après ça il a cherché à te revoir mais tu as décliné totalement à le revoir. C’est après qu’il a quitté l’Angleterre pour rejoindre la Corée d’où vous êtes originaires tous les deux et tu pensais que tu ne le reverrais jamais. Et pourtant tu t’es trompé parce que maintenant que tu es dans ton bureau à l’hôpital tu as reçu un appel de ta secrétaire Krystal qui t’indique que tu as un rendez-vous dès maintenant avec lui. Tu souffles un bon coup après avoir raccroché avec la blonde pimpante qui bat des cils à chaque fois qu’elle te voit. Décidément tu n’arriveras jamais à te débarrasser de lui ? Une part de toi est contrariée de le revoir mais une autre que tu souhaiterais ignorer est sincèrement heureuse et pour le coup tu envoies la deuxième se faire foutre parce que tu sais que tu ne dois pas être heureux de revoir cet homme. Mais pour l’heure, tu quittes ton bureau et te rend jusqu’à la salle d’attente et tu le vois aussitôt parmi les quelques personnes qui attendent aussi leur tour avec les psychiatres qu’iels sont venu-e-s voir. « Monsieur Kim. » Tu soupires dans un murmure tandis que tu le vois se lever et aussitôt tu t’éloignes avec lui jusqu'à ton bureau. Une fois que tu es arrivé tu t’installes sur ton fauteuil en faux cuir rouge et tu le scrutes tout du long. « Bonjour Monsieur Kim. Je pensais avoir été suffisamment clair quant au fait que je ne serais plus jamais votre psychiatre. » Sauf que non tu ne l’as pas été puisque tu as fuis à chaque fois qu’il a essayé de te contacter sur ton iPhone tel le trouillard que tu peux être Sehun. Et le voilà devant toi visiblement enchanté mais tu ressens qu’il est aussi anxieux. « J’ai entendu dire que vous étiez retourné en Corée. » Faux archi faux. Tu t’es simplement renseigné auprès de la fac dans laquelle il étudiait et on t’a indiqué qu’il était reparti en Corée après avoir obtenu son diplôme avec mention parce que comme toujours Kim est méticuleux et parfait sur différents aspects. Tu passes distraitement ta main dans tes cheveux décolorés tout en le scrutant. « Vu que vous êtes là désormais autant me dire ce que vous voulez Monsieur Kim. » Ta voix est grave mais malgré tout très basse mais tu sais qu’il t’a entendu et tu attends désormais qu’il t’en dise bien plus à ce sujet même si bien sûr tu es loin d’être stupide et tu te doutes de ce qu’il désire. Des explications. Et une part de toi sait que tu ne pourrais pas lui reprocher de vouloir des explications après que tu te sois comporté comme un salopard avec lui en l’abandonnant au moment où il avait le plus besoin d’être rassuré. Tu as fait une connerie comme indiqué. Une erreur médicale en étant proche d’un patient mais tu as fait aussi une erreur humaine en abandonnant une personne remplie de traumatismes à qui tu as sûrement déclenché d’autres traumatismes après ce que tu as fait. Oui tu es un salaud et tu le sais tout comme lui en est conscient. Pourtant ça ne l’empêche pas de t’aimer et au fond c’est un peu la même chose de ton côté.
Kwon SehunUn X est un baiser pour un doux baiser Un O est un câlin en cercle Peut-être que tu sais déjà oh Jour après jour, je t'ai secrètement écrit une lettre Et c'est ce que j'ai écrit à la fin de la lettre Bien que je ne te l'ai jamais donnée ah
OOTD— Il y a à peine quelques jours, une semaine tout au plus, tes pieds touchaient le sol britannique, et ce, pour la première fois depuis des mois. La vérité, t’installer à Londres si peu de temps après ton départ, n’est pas un truc que tu auras planifié du jour au lendemain, quoique pour ce qui est de la partie planification, on y repassera. Tu as beau faire croire le contraire, te retrouver à nouveau à frôler les rues de cette ville, n’est en rien un choix qui t’appartient. Du moins, pas totalement… Bien que présentement, tu te retrouves plutôt à frôler cette chaise, assis parmi tant d'autres au beau milieu de cette salle d’attente, à te demander ce que tu es venu foutre ici. Non, tu ne rêves pas, Hyukie. Tu es bel et bien en train de remettre toute ton existence en question, certes un sentiment étrange lorsqu’on n'en a pas l’habitude. Les paupières closes, palpitant qui s’emballe en te remémorant son souvenir, le fait qu’il ne soit qu’à quelques mètres juste derrière cette porte qui ne cesse de te narguer en demeurant fermée, ne t’aidant point à gérer la boule qui tranquillement s’entasse dans ta gorge… Ou seraient-ce plutôt les papillons de ton estomac qui t’embrouillent ainsi l’esprit ? Le docteur. Sehun… Ces papillons qui n’apparaissent uniquement que pour lui, tu le sais, toi qui auparavant arriverais si aisément à les dissimuler. Quelque chose à changer depuis la dernière fois que tu as vu son joli minois, c’est indéniable et au plus profond de toi, tu connais parfaitement la réponse. Cette chaude soirée d’été où il t’aura offert ce que tu désirais le plus, l’élément déclencheur.
Cinq longues années marquent le jour de votre rencontre. Lui en tant que médecin et toi, ce patient qui aurait sûrement dû le demeurer, professionnalisme obligé. Pourtant, rien ni personne n’aurait pu mettre un frein à tes caprices, cet objectif que tu souhaitais par-dessus tout atteindre. Et dès lors, un jeu interdit s'instaura entre vous - mais bien entendu, tout bon jeu à une fin. Tu n’as pas oublié l’été passé, cette soirée marquée au fer rouge dans ta petite tête, alors que tu es loin d’être passé à autre chose. Aucun remord, zéro regret et malgré tout, toutes ces questions qui demeurent sans réponses et dont tu meurs d’envie de lui poser, là maintenant. Acceptera-t-il seulement d’y répondre ? C’est la question qu’il faut se poser. Tu es bien celui qui l’aura poussé à bout, glissant sous cette table en ne sachant point où t'arrêter, alors que tu ne voulais qu’une seule chose, lui. Une chose en apportant une autre, tu as terminé la soirée chez lui, sous ses draps… Alors que le matin venu, tu ouvrais les yeux sur un matelas vide, toujours plus confus que la veille. Peut-être aurais-tu préféré qu’il soit à tes côtés, chercher des réponses dans le regard qu’il aurait posé sur toi en se réveillant…? Tu aurais pu lui dire ce que tu as sur le cœur, depuis ce soir où vous avez fait l’amour, soir ou tu réalisais finalement que ce jeu qu’il y avait entre vous n'en était pas un… Que tu avais véritablement besoin de lui, au-delà du sexe et de son rôle de psychiatre. Mais le devinant dépassé par la situation, tu as rapidement mis fin à tes tentatives pour le revoir, toi qui de toute façon, fut contraint de rejoindre ta Corée natale à l'obtention de ton diplôme, suite à la demande des géniteurs.
Conscient que tu ne devrais pas te retrouver-là, à patienter sur cette chaise, alors que tu es sûrement le mec le plus impatient de toute la pièce, une partie de toi ne peut s’empêcher de vouloir y être. Le fait que ton cœur batte à mille à l’heure ou encore que tu n’arrives point à calmer le rebond que fait ta jambe dû au stress, ne sont que des détails parmi tant d'autres, car à tout moment la porte de son bureau s’ouvrira et tu reverras à nouveau sa bouille d’ange… Bien que tu devines déjà la réaction désespérée du docteur en apercevant ta silhouette difficilement dissimulée parmi les autres patients. Une image qui te décroche un rictus amusé, alors que sa voix qui résonne soudainement dans la salle réussit à te faire sursauter, ouvrant tes paupières toujours fermées sur le docteur se tenant à quelques mètres. Merde, pourquoi cet homme se doit-il d’être aussi beau ? Semblant partager le même avis que cette blonde qui lui sert de secrétaire, la mâchoire serrée lorsque tu te lèves et le suis maladroitement jusqu’à son bureau, sans oublier ce regard noir destiné à blondie en refermant lentement la porte derrière toi. - “... autant me dire ce que vous voulez…” - les seuls mots que tu t’obstines à entendre, toujours debout face au docteur, tes iris valsant sur chaque détails qui te sont offerts. Tu es littéralement en train de le sonder, de la tête jusqu’au pied, Hyukie. Cherchant à comprendre le sens réel de sa question, alors que son non parlé t'indique qu’il connaît déjà la raison de ta venue. Tout de même, tu dois avouer qu’il a un sacré culot. “Bonjour Sehun.” - tu lui réponds tout simplement, loin d’être d’humeur à jouer, c’est bien la première fois que tu ne te butes à le surnommer docteur. Un sourire niché aux coins des lèvres, ce qui voudrait dire que tu n’es pas si de mauvaise humeur après-tout… “Je ne suis pas venu pour vous emmerder… Quoiqu’à votre expression, vous devez être enchanté de me revoir tel qu’à l’époque, derrière votre bureau.” - du sarcasme résonne au travers de tes mots lorsque tu t’adresses à lui une seconde fois, tandis qu’un soupir glisse lentement entre tes lèvres en te rapprochant de son bureau. “ Désolé. Je suis conscient qu’à ce niveau, je ne fais que m'acharner inutilement… Mais ça va bientôt faire des mois que je me pose des questions et depuis, je n’ai toujours pas eu de réponses. Vous êtes le seul à pouvoir m’éclairer.” - tu n'arrivais point à le détester et ce, même s’il refuserait de te répondre, loin d’être l’unique victime de l’histoire. C’est en partie de ta faute si aujourd’hui, vous vous retrouvez tous les deux dans cette situation. Tu ignores comment t’en sortir, bien que ton cœur ne cesse de te murmurer d’essayer.
METHODE DE RP : J'écris à la seconde personne, je fais environ 500 mots mais je peux faire plus, je fais très peu de fautes, je m'adapte à mon partenaire, je peux écrire en écriture inclusive lorsque la situation s'y prête.
OOTD Tu savais plus que bien que ce jour arriverait finalement. Le moment où Junhyuk reviendrait vers toi et te réclamerait des explications. Il n'aurait pas pu en être autrement après la façon dont tu t'es comporté et tu le sais, n'est-ce pas ? Oui, évidemment que tu le sais. Tu sais également que tu n'aurais jamais dû jouer ainsi avec lui au jeu de la séduction, encore moins le chauffer dans ce restaurant trop bourgeois pour que ça puisse s'apparenter à un rendez-vous médical, encore moins un jour férié où tu n'es pas censé voir tes patients, surtout lui. Tu sais aussi que tu aurais dû laisser ce moment sous la table au restaurant et ne jamais le ramener chez moi et le posséder comme tu n'as jamais possédé quiconque. Mais as-tu seulement des regrets d'avoir fait ça ? De l'avoir touché, embrassé, fais l'amour comme s'il était l'homme que tu aimais, ce qui est réel pourtant, regrettes-tu ? La réponse est compliquée. D'un côté tu regrettes d'avoir franchi la barrière du professionnalisme avec lui parce que tu sais plus que quiconque combien ça peut être mal ce que tu as fait mais d'un autre côté ce moment était le moment le plus magique de toute ta vie en plus d'être le plus romantique, érotique et inoubliable.
Grâce à ce moment tu as réalisé que tu l'aimais. Tu culpabilises encore aujourd'hui d'éprouver de tels sentiments pour un ancien patient. Mais il ne redeviendra pas ton patient, n'est-ce pas ? Oui. Non. Peut-être. Tu ne sais pas Sehun. Tu es perdu et maintenant que tu es face à lui alors qu'il te salue par ton prénom plutôt que par ton titre professionnel, vous n'en êtes plus à ça près vu que tu as couché avec lui après tout, tu le scrutes tout du long alors qu'il s'installe et tu retiens ta respiration et entendant ses mots ressentant presque l'amertume qu'il a pour toi derrière ces paroles lourdes de sous entendus comme s'il t'en voulait mais qu'il tentait de refouler sa colère pour plutôt se concentrer sur l'important en venant ici. Cette pointe d'ironie ne te plaît guère cependant. Il doit bien le savoir d'ailleurs et ou l'avoir compris à travers ton regard puisqu'il reprend la parole et présente des excuses que tu juges être sincère en vue du regard timide qu'il pose sur toi comme au travers de ses mots suivants. C'était évident qu'il venait pour te demander des comptes. Il te dit qu'il a des questions et qu'il a besoin de réponses et tu te pinces la lèvre en le scrutant étant à ton tour plutôt intimidé par la situation du moment dans laquelle tu te trouves. « D'accord. Je vais répondre à vos questions. Je sais que je ne suis pas tout blanc dans cette histoire. Mais vous non plus Monsieur Kim. Et vous le savez aussi bien que moi. » Tu le fixes un moment en te pinçant la lèvre. « C'était peu professionnel de ma part de vous laisser tomber après ce qu'il s'est passé mais ça l'était encore plus de m'adonner à ce genre d'activités avec un patient. Et vous le savez très bien. Pourtant, ça ne veut pas dire que j'ai détesté ce moment ou même que je regrette à cent pourcent ce moment. Je serais un menteur si j'affirmais que j'ai détesté ou que je regrette sous tous les plans d'avoir fait ça avec vous. » Tu le fixes timidement te livrant toi-même à lui comme tu ne l'as jamais fait dans le passé. « Je mentirais aussi si j'affirmais que je ne pensais pas vous revoir. Je vous connais suffisamment pour savoir que vous finiriez tôt ou tard par venir me revoir et comme vous le faites maintenant après plusieurs à venir me demander des comptes pour mon attitudes négatives. Je mentirais si j'affirmais que je suis serein et heureux en ce moment. » Mais tu mentirais aussi si tu affirmais que ça ne te faisait pas plaisir de le revoir après tout ce temps et qu'il ne t'a pas manqué. Si il t'a manqué et oui tu es heureux de le revoir. Mais l'avouer est compliqué et alors tu te contentes de lui faire comprendre les choses en lui parlant de cette façon et tu espères qu'il saura lire entre les lignes. Qu'il ne te forcera pas à lui dire franchement que tu l'aimes, que tu as aimé ce moment, qu'il t'a manqué ou que tu ne regrettes pas ce moment. Tu préférerais largement qu'il agisse avec un peu plus de professionnalisme lui qui est promis à un avenir professionnel tout aussi prestigieux que le tien si ce n'est plus et qu'il continue à te demander si tu mentais si tu admettais quelque chose. Tu espères qu'il le fera et qu'il ne t'imposera de dévoiler la vérité directement. Cependant, tu sais aussi que Junhyuk n'est pas ce que l'on peut appeler un mec sage, il est un sale gosse et l'a toujours été, ça t'a plu chez lui tu l'avoues, il sait être astucieux et ingénieux, il sait être intelligent et chaleureux, il sait faire battre ton cœur mieux que quiconque comme c'est le cas en ce moment à tel point que tu as le sentiment que ton palpitant veut sortir de ta cage thoracique pour s'offrir directement à Junhyuk comme il lui appartient depuis bien des années.
Au fond, à quel moment es-tu réellement tombé amoureux de lui ? Tu n'en sais rien mais tu supposes que ça fait des années. Plus personnellement lorsque votre jeu de séduction s'est installé entre vous. Encore plus personnellement lorsque tu lui as fait l'amour et que tu as réellement compris à ce moment-là toute l'étendue de ton amour pour ce patient plus jeune que toi. Tes pupilles sont dilatées, tu es anxieux et triste de la situation. Tout serait plus simple s'il n'avait pas été ton patient et que tu n'avais pas souffert le martyr dans ton passé avec ton premier mec. Mais au fond même ton premier mec n'est pas ton premier amour, pas vraiment du moins. Le premier que tu aimes véritablement c'est le jeune homme en face de toi. Et pourtant malgré l'étendue de tes sentiments pour ce même jeune homme tu ne peux t'empêcher de le blesser. Tu ignores véritablement s'il va te pousser à le repousser aujourd'hui ou si au contraire il va te pousser encore plus loin dans votre jeu de séduction, s'il va te pousser à recommencer à capturer ses lèvres et son cœur. S'il va te pousser à capturer ton cœur comme il l'a pourtant déjà fait. Tu ignores véritablement quelles seront le contenu des questions qu'il veut te poser mais tu sais juste que tu ne vas guère apprécier devoir répondre à ses questions, tu sais qu'il va te reprocher de l'avoir abandonné. Peut-être même qu'il pleurera, qu'il te fera culpabiliser de l'avoir abandonné au moment où il avait eu le plus besoin d'être soutenu et aimé alors qu'il allait passer ses examens de fin d'année à l'université. Tu es coincé en ce moment. Il est là face à toi et tu t'en veux parce que tu sais que tu as énormément blessé ce bel homme pour qui tu as tant de sentiments. Tu culpabilises de toi-même sans qu'il n'ait eu besoin de dire quoi que ce soit. Tu t'en veux. Tu aimerais faire plus que de le blesser à nouveau. Alors oui, tu vas affronter aujourd'hui les questions de Kim Junhyuk et advienne que pourra comme on dit.
Kwon SehunUn X est un baiser pour un doux baiser Un O est un câlin en cercle Peut-être que tu sais déjà oh Jour après jour, je t'ai secrètement écrit une lettre Et c'est ce que j'ai écrit à la fin de la lettre Bien que je ne te l'ai jamais donnée ah
OOTD— À quelques centimètres de son bureau, tu as une posture quelque peu maladroite, tes bras reposant bredouilles sur chacune de tes hanches, alors que ton cœur menace de s’éteindre - du moins, s’il ne s’est pas déjà arrêté sans que tu ne t’en rendes compte. Tu mentirais en avouant te sentir complètement confiant, intimidé face au regard qu’il laisse valser sur ta silhouette, ce détail qui point ne te ressemble à l’habitude. Tu as enfin cette chance de le revoir, le destin te l’offrant sur un plateau d’argent. Cette chance de l’affronter depuis cette nuit où il t’a ramené chez-lui, ce matin où tes paupières se sont ouvertes sur des draps affreusement froids. Pour le meilleur et surtout pour le pire, tu t’es d’aplomb brûlé les ailes cette nuit-là, conséquence suite à ton insatiable et inarrêtable besoin de jouer. Finalement, tu l’auras bien mérité… Mais jamais au grand jamais tu ne pourras dire regretter l’unique fois où tu t’es retrouvé sous ses caresses, le son de vos palpitant à l'unisson, t’offrant à lui comme jamais auparavant. Tu as beau vouloir détester cet homme, tout comme il doit te détester vu toutes les fois où tu lui as donné la chance de le faire, mais tu n’y arrives pourtant pas. Dans ta petite tête, tes sentiments sont clairs et bien nets. Dès le premier jour, ton cœur n’a désiré que le docteur, bien qu’il t'ait fallu quelque temps pour te l’avouer. Des airs de “je t’aime” dissimulé derrière ce jeu stupide de qui finira dans le lit de l’autre en premier.
Tu n’es pourtant pas ici aujourd’hui pour lui faire la grande déclaration, bien que tes sentiments pour Sehun soient un secret pour personne, ni même pour le psychiatre qui l’aura sans doute deviné dès le premier jour. Non, car aujourd’hui, tu es clairement venu lui chercher des comptes, ces mille questions que tu cherches toujours à formuler et qui fourmillent sous ton crâne en surchauffe. Y arriveras-tu Hyukie ou bien le docteur aura raison du peu d’esprit qu’il te reste ? Tentant de refoulé cette nervosité qui te prend les tripes, tu t’adresses lentement à Sehun avec ce poignant sarcasme dans la voix, ta tentative de lui dissimuler tes émotions échouant lamentablement. Tu n’aurais pu le lui cacher bien longtemps de toute façon… Non ? Tu ignores qui des deux se sent le plus inconfortable, mais tu comptes malgré tout obtenir les réponses à tes questions, au-delà de la tension qui circule de chaque côté du bureau et qui heureusement, vous sépare. Posant tes fesses sur le coin de la chaise la plus proche, tu ne peux toujours pas t’empêcher de sonder le moindre de ses gestes, ses réactions qui trahissent son inconfort, ton regard valsant sur ses lèvres, une oreille attentive aux mots qui s’en échappent. "Je ne mentirais pas… J’étais loin de me douter aujourd’hui que je finirai dans votre bureau en ouvrant l'œil ce matin. Est-ce que j’ai réussi à vous effacer de mon esprit pendant tout ce temps ? Bien sûr que non, sinon je ne me serai pas obstiné comme un con à vous chercher dans tout Londres… Mais est-ce que j’ai redouté le moment où je me retrouverais à nouveau à vous fixer stupidement derrière un bureau ? Oui, je ne cherche même pas à le cacher." - lui dis-tu calmement, malgré ce nœud qui se forme lentement dans ta gorge et résonne dans tes paroles. "Enfin… J-je ne chercherais pas à vous faire avouer quoi que ce soit. Tout ce que je veux, c’est mettre des mots sur les raisons pour lesquelles, je n’arrive pas à faire une croix sur vous, car vous l’aurez deviné, vous êtes toujours bien incrusté là-dedans." - tu ajoutes une pointe de mélancolie dans le regard, en te tapotant le front du bout du doigt. "Rien ne vous oblige à répondre mais… Pourquoi avoir continué les consultations, à la limite ne pas m’avoir référé à un autre psychiatre, alors que vous saviez la nature de mes intentions pour vous et ce, dès le premier jour ?" & peut-être connais-tu déjà la réponse à cette question ? L'avide besoin de l’entendre de ses lèvres à lui l’emportant sur tout le reste.
METHODE DE RP : J'écris à la seconde personne, je fais environ 500 mots mais je peux faire plus, je fais très peu de fautes, je m'adapte à mon partenaire, je peux écrire en écriture inclusive lorsque la situation s'y prête.
OOTD Tu culpabilises Sehun alors que tu es là installé dans ton fauteuil en faux cuir face à ce jeune homme. De toute ta vie tu n'avais jamais commis d'erreur dans ton boulot, il est la première erreur que tu commets. La seule. Parce qu'au fond tu as juste refoulé pendant toutes ces années où tu as été son soignant la douceur que tu éprouves pour lui. Tu as refoulé tout simplement parce que tu n'es pas censé être proche intimement ou émotionnellement d'un patient en vue de ton boulot de psychiatre. Rien que pour ça tu t'en veux parce que tu sais que s'il n'avait pas été ton patient tu aurais pu être avec lui sans le moindre problème. Pourtant les choses font qu'il a été ton patient pendant de longues années et que pendant tout ce temps vous avez joué ensemble à un jeu de séduction interdit jusqu'à ce qu'il finisse dans ton lit. Au matin en te réveillant à côté de ce petit homme tu t'en es voulu immédiatement d'avoir cédé à ses avances non pas parce que tu regrettais ce moment avec l'être aimé mais parce que c'est irresponsable de la part d'un médecin de céder aux avances de son patient. Rien que pour ça tu t'en veux. Tu aurais pu avoir une discussion avec lui, communiquer sur ce moment que vous avez partagé le temps d'une nuit et sur les problèmes que ça allait te créer si jamais ça venait à se savoir. Donc oui tu aurais pu mais tu ne l'as pas fait parce que tu as tout simplement réalisé tout ce que ça impliquait et tu es un froussard Sehun, un grand froussard du coup en te réveillant tu es immédiatement allé te planquer dans un coin de ta ville en espérant qu'il ne t'y trouve pas à son réveil en solitaire ce qu'il s'est effectivement passé. Tu ignores s'il a pleuré au matin en se réveillant seul mais tu te doutes qu'il a dû énormément pleurer après ce moment notamment quand il est rentré chez lui et qu'il a réalisé qu'il ne te reverrait plus, que vos séances étaient à présent terminées et qu'il n'y avait aucun espoir pour que ce jeu de séduction comme cette attirance deviennent des choses plus conséquentes et importantes.
Mais là alors que tu es posé face à lui tu rumines et tandis que tu t'expliques comme tu le peux sur ton attitude à son égard tu vois bien qu'il t'en veut même s'il tente de camoufler sa rancœur. Tu ressens sa nervosité également comme son mal-être, son incompréhension peut-être. Et finalement lorsque ton brun prend la parole et qu'il se confie à toi sur ce qu'il éprouve, sur ses sentiments les plus précieux et sincères. Tu le fixes en hochant la tête comprenant bien qu'il puisse se sentir nerveux d'être ainsi face à toi en ce moment et de ne plus savoir quoi faire de sa peau comme ça semble être le cas en ce moment. Pourtant le jeune homme insiste quant au fait qu'il n'a jamais pu t'enlever de sa tête et tu le fixes tristement sans l'interrompre jusqu'à ce qu'il te rappelle l'évidence comme quoi qu'il est venu pour obtenir des réponses à ses questions et face à la première tu te pinces la lèvre en ressentant un frisson désagréable dans ton corps. « J'aurais pu tout arrêter dès le début en comprenant que vous aviez eu un coup de foudre pour moi effectivement. Seulement, je n'y tenais pas vraiment. J'aurais pu arrêter nos entrevues avant que le jeu de séduction s'installe ou encore que nous allions plus loin il y a quelques mois. Vous avez raison j'aurais pu faire tout ça et vous éviter de souffrir. M'éviter à moi aussi d'avoir des problèmes et de souffrir en retour de votre absence dans ma vie. Parce que ça a été le cas Monsieur Kim. J'en ai souffert. » Tu soupires faiblement un moment en le scrutant alors que tu réfléchis un moment à la façon de continuer et de lui apporter sa réponse à sa question.
Tu réfléchis tout un moment en pesant le pour et le contre avant de te jeter à l'eau et tu reprends bien assez vite la parole. « Moi non plus je n'ai jamais réussi à vous ôter de ma tête après ce qu'il s'est passé il y a bientôt un an. Vous n'êtes pas le seul concerné à avoir ressenti des choses. Bien plus qu'une tension sexuelle j'entends. Mais vous n'êtes pas un sot vous savez très bien qu'il y avait quelque chose de plus qu'un simple jeu de séduction. Vous n'êtes pas non plus le seul à avoir ressenti le besoin d'avoir plus qu'une simple relation professionnelle entre nous. » Tu te pinces la lèvre de plus en plus nerveux par tout ce que tu lui dis. Allez Sehun c'est le moment d'être sincère avec toi-même comme avec ce garçon. C'est le moment de prendre ton courage à deux mains et d'être sincère à la fois avec lui mais aussi avec toi-même. « Je suis attiré et plus encore Monsieur Kim. Je suis désolé. C'est la raison la plus incongrue qu'on puisse donner mais c'est pour cette raison que je n'ai pas arrêté. J'ai agi par égoïsme pur parce que je ne voulais pas vous savoir loin de moi. Je vous voulais près de moi en tout temps et plus encore... » Voilà tu l'as fait tu l'as dit mais tu as tout de même le besoin d'en rajouter une couche juste pour qu'il assimile bien l'information. « Vous m'attirez Monsieur Kim. Et au-delà même... » Et maintenant te voilà rouge d'embarras de t'être exposé ainsi face à lui. Tu attends donc de voir quelle sera sa réaction et surtout s'il acceptera et comprendra ou si au contraire il va te rejeter et t'envoyer te faire foutre ce que tu mériterais. « Je suis désolé ... » Tu baisses la tête embarrassé en te pinçant la lèvre.
Kwon SehunUn X est un baiser pour un doux baiser Un O est un câlin en cercle Peut-être que tu sais déjà oh Jour après jour, je t'ai secrètement écrit une lettre Et c'est ce que j'ai écrit à la fin de la lettre Bien que je ne te l'ai jamais donnée ah
Qu’avais-tu donc en tête en te présentant ici aujourd’hui ? Rien ou alors, tout à la fois… Comme un disque abîmé, cette interrogation qui joue en boucle dans ta petite tête et qui ne semble pas vouloir s’arrêter. A-t-il seulement une réponse lucide à tes questions, celles qui ne cessent de te narguer, moqueuses, depuis qu’il a posé son doux regard sur toi ? Celui qui fait battre ton cœur un peu plus vite, un peu trop fort - ou alors, c’est la nervosité qui joue avec tes nerfs - le même regard qui t’a tant manqué, alors qu’en ce moment, tu as bien du mal à le regarder droit dans les yeux, à garder le peu de sang-froid qu’il te reste. Posé sur cette chaise, une envie - une connerie - te traverse l'esprit, celle d’envoyer valser la distance que ce con de bureau en mélamine instaure, oblige entre toi et le psychiatre. Pourtant, tu es toujours posé de l’autre côté, aussi sagement que tes capacités te l’obligent… Car suite à la logique des événements ne serais-tu pas censé le détester, ou du moins, ressentir une once de rancœur ? Aurais-tu finalement pris conscience de tes fautes, Hyukie, alors que tu ne peux blâmer que toi-même de ce qu’il t’arrive ? Si tu te retrouves dans cette situation aujourd’hui, ce n’est que de ta faute et tu en es bien conscient. Tu as voulu jouer et tu t’es brûlé en chemin, trop tard pour reculer en réalisant que “ce jeu” n’était qu’un vulgaire prétexte, une façon inconsciente de te rapprocher de lui, refoulant au passage le moindre de tes sentiments. Parce qu’il aurait mauvais pour ton ego, ou alors pour ton petit cœur fragile, d’avouer ce que tu ressens réellement pour le psychiatre, cette douloureuse envie de lui appartenir et à la fois effrayé par la perspective qu’il puisse y avoir bien plus qu’une attirance, tension sexuelle entre vous deux. Tu es incapable de lui en vouloir, de haïr cet homme dont le regard est présentement rongé par la culpabilité et l’amertume. Ce fameux soir où tu t’es offert au docteur, tu as finalement ouvert les yeux sur ton hypocrisie. Pourtant, tu réalises que maintenant - alors que ses mots te percutent tel une tonne de brique en chute libre - que le vide que cette histoire a créé, n’est pas uniquement le tient. Il est aussi le sien…
Sehun, a-t-il conscience que quelques mots suffisent à répondre à toutes tes réponses ? A-t-il remarqué les larmes qui perlent au coin de tes paupières suite à ces simples paroles, ce je suis désolé pour lequel tu n’étais pas préparé, alors que la culpabilité te gagne à ton tour, chassant une larme du revers de ta manche, ignorant le fait que tu auras inévitablement par la suite les yeux rouges et bouffis. Pendant tous ces mois loin de lui, sans la moindre nouvelle de ta part, tu avais cru être le seul à souffrir du manque que son absence aura forgé dans un coin de ta tête. Des mois à tenter de l’oublier, effacer cette soirée magique, tout comme ce matin tragique qu’il t’aura fait subir… Mais n’était-ce pas mieux que rien du tout ? Lui qui t’aura fait sentir aimé, le temps d’un soir, un instant trop court à ton goût… Le voilà qu’il recommence. Inconsciemment, sous ses aveux remplis de mélancolie, tu devines la douceur qu’il a pour toi, celle qu’il a toujours eu malgré toutes les fois où il t’aura fait croire le contraire. Un lourd silence s’installe alors dans la pièce lorsqu’il s’arrête enfin de parler, l’embarras traçant les traits de son beau visage… S’est-il seulement déjà confié dans le passé, comme il vient tout juste de le faire face à toi ? Tu fais le choix d’ignorer cette question pour l’instant - elle te reviendra bien assez rapidement en tête de toute façon - tes pas te forçant à contourner le bureau, tes doigts frôlant sa mâchoire pour le pousser à te regarder, croisez vos regards. “Je suis désolé docteur. Pour ce que je vous ai fait subir, pour mon hypocrisie des dernières années. Vous ne le méritiez pas…”- dis-tu l’écho d’un sanglot dans la voix, plus vulnérable que tu ne l'ai jamais été face à lui, alors qu’une larme glisse lentement sur tes pommettes, attendant qu’il te rejette et te repousse pour de bon cette fois.
METHODE DE RP : J'écris à la seconde personne, je fais environ 500 mots mais je peux faire plus, je fais très peu de fautes, je m'adapte à mon partenaire, je peux écrire en écriture inclusive lorsque la situation s'y prête.
OOTD Tu savais qu'il y aurait forcément un moment où ce jeune homme reviendrait vers toi pour te confronter. Tu aurais été stupide de croire qu'il s'arrêterait à ce moment d'intimité dans ta chambre et qu'il ne chercherait pas à te pourchasser d'une façon ou d'une autre. Ta secrétaire filtrait ses appels et venues à ta demande pour que tu sois sûr qu'il ne te dérange pas et plus tu apprenais qu'il avait appelé ou qu'il était passé ici plus tu culpabilisais en te disant qu'il ne méritait pas ça. Et finalement un jour le plus jeune a arrêté de venir et d'appeler. Tu as supposé un temps qu'il s'était lassé, qu'il avait probablement rencontré quelqu'un qui le respectait plus que toi voire même qu'il avait décidé de changer de psychiatre et toutes ces possibilités te rongeaient. Tu t'es alors rappelé qu'il devait passer ses examens de fin d'études et tu avais peur qu'à cause de toi il ai tout loupé alors tu as appelé sa fac pour apprendre qu'il a obtenu son diplôme avec mention puis est retourné en Corée pour retrouver sa famille. D'un côté tu étais ravi qu'il ai pu avoir son diplôme avec les félicitations mais d'un autre côté tu étais vraiment contrarié qu'il ai opté pour la soumission vis-à-vis de ses géniteurs en retournant tête baissée vers elleeux quand iels ont fait appel à lui. Tu sentais que ton boulot avec lui n'était pas terminé pour qu'il agisse de la sorte alors que ces gens ont montré plutôt deux fois qu'une que ce sont des personnes toxiques avec leur famille et toute personne qui les entoure. Tu culpabilité n'avait pas fini de te ronger à cette époque et maintenant c'est de pire en pire alors qu'il est là en train de te demander des comptes.
Alors oui pour la première fois tu fais face, tu le laisses t'affronter comme tu mérites qu'il le fasse et tandis que tu lui donnes des réponses tu le vois pleurer et ce simple fait te brise le cœur au plus haut point tant tu ne supportes pas l'idée de le blesser. Pourtant il ne pleure pas de tristesse, simplement de bonheur, n'est-ce pas ? Tu l'espéres sincèrement mais là encore tu es lâche parce que tu préfères penser qu'il pleure de bonheur plutôt que de tristesse alors que pleurer il a dû faire ça bien souvent à cause de ça depuis quasiment un an et tu culpabilises toujours plus à cause de ça. Le plus amusant c'est que tu n'es pas du genre à te confier. Jamais. La seule personne à qui tu te confies quand ça va mal c'est à Tomas ton meilleur ami mais sinon en dehors de Tomas et de ce beau jeune homme tu ne te confies jamais à personne. Tu es un poil parano et tu es persuadé que si tu te confiais à une personne qu'on te servirait de ce que tu as confié contre toi. Pour un psychiatre tu es plutôt pathétique quand on y songe. Et pour l'heure tu t'interromps et tu baisses la tête alors qu'il pleure toujours.
Au bout d'un moment tu l'entends se lever sans dire un mot et tu t'attends à ce qu'il décampe d'ici en claquant la tête en hurlant que tu es un enfoiré, ce que tu mériterais. Pourtant il n'en fait rien il s'approche de toi et avec ses doigts il relève ta tête pour que vous soyez l'un face à l'autre et tu t'attends à nouveau à ce qu'il ai une réaction impulsive en te collant une baffe pourtant le jeune homme t'étonne encore plus que d'habitude si c'est seulement possible en s'excusant pour son hypocrisie. Quelle hypocrisie ? De quoi il parle ? Tu fronces les sourcils surpris et contrarié tout en le fixant longuement alors que tu constates qu'il a toujours les larmes aux yeux. « De toute ma vie j'ai connu beaucoup de personnes mais d'aussi loin que je sois capable de m'en souvenir tu es la personne la plus sincère et loyale que j'ai pu connaître. Alors non. Tu n'es pas un hypocrite. C'est plutôt moi de nous deux qui l'ai été vu que pendant tout ce temps je te disais que nous avions une relation professionnelle alors qu'en définitive mon cœur battait déjà pour toi depuis le premier jour... » Et la relation professionnelle dans tout ça ? Tu l'envoies se faire foutre. D'un mouvement aussi délicat que doux tu viens essuyer avec tes pouces les larmes qui coulent de ses yeux tout en le scrutant tendrement alors que tu gardes tes mains sur son doux visage. « Je suis désolé Junhyuk. Je ne veux plus que tu souffres d'une façon ou d'une autre. Je veux pouvoir prendre soin de toi. » Tu rougis face à tes propres confidences tout en détournant les yeux mal à l'aise.
Kwon SehunUn X est un baiser pour un doux baiser Un O est un câlin en cercle Peut-être que tu sais déjà oh Jour après jour, je t'ai secrètement écrit une lettre Et c'est ce que j'ai écrit à la fin de la lettre Bien que je ne te l'ai jamais donnée ah
Tout à commencé par l’envoie d’un tout premier sms - qu’il n’aura sans doute jamais lu, tout comme les nombreux autres qui suivirent - puis par un message laissé sur sa boîte vocale, un autre, jusqu’à atteindre celle de sa secrétaire, cette blondasse aguicheuse dont plus d’une fois, tu as rêvé d’arraché le chignon parfait qui lui pend sur la tête. Désespéré, tu l’as été… Toutes les fois où tu t’es présenté ici sans jamais le revoir, ni même entendre le doux son de sa voix. Tu n’as aucune honte, ni même un regret de t’être montré aussi… Faible, alors qu’il t’avait brisé le cœur, toi qui avais naïvement cru qu’il éprouvait la même chose, fermant les yeux sur toutes ses fois où il t’a rejeté ou du moins, expliqué que toi et lui, ce ne serait jamais possible. À vrai dire, tu t’es fait du mal à toi-même, le seul qui puisse être blâmé pour ce qui t’arrive. Peut-être l’as-tu compris en retournant les oreilles basses vers tes géniteurs ? Toi qui a disparu du jour au lendemain, ne laissant aucune trace. Fini les textos et la trace de ta voix sur son téléphone, désertant les locaux et la salle d’attente menant à son bureau… Comme un lâche, tu as tout simplement abandonné. C’est le cœur sur les dents, que tu quittais Londres après avoir obtenu ton diplôme. Plus rien ne te retenait dans la capitale anglaise - quoique nulle part au monde, tu te serais senti comme à la maison. Tu n’avais rien à foutre si oui ou non ton choix était le bon, mais tu en étais sûr. Le jour viendrait où tu te tiendrais à nouveau face à cet homme, à la recherche de réponses ou tout simplement pour lui demander pardon, car toi en revanche… Tu as toujours eu un mal fou à lui en vouloir. C’est ça ton problème, Hyukie, tenant le docteur haut perché sur un piédestal, tu n’as jamais remis en question la possibilité qu’il puisse tomber tout en bas, là où toi-même, tu te retrouves… Et maintenant que tu tiens face à lui, un reflet humide valsant lentement sur tes pommettes, tu es rattrapé par la raison, cette dernière t’assenant sans gêne, d’une vilaine gifle.
Toi qui en tête, t’es refait le même scénario des centaines de fois… Tu ne peux t’empêcher de te demander ce que tu fabriques ici, ce que tu es réellement venu chercher. D’ailleurs, pourquoi pleures-tu comme un con ? Serait-ce de la tristesse, du bonheur ou alors de la contrariété ? Une chose certaine, tu lui offres un joli spectacle tandis que toutes ces émotions se mélangent pour créer cette concoction qu’on appelle, un gâchis, car comme de la langue anglaise “you’re a real mess right now”. Le jugement ne se reflète pourtant pas dans le regard du docteur, ne décelant que du questionnement, une touche de culpabilité. Qu’il se sente coupable, tu devrais t’en réjouir et pourtant, tu en es incapable, sachant qu’il n’est en rien responsable de ton chagrin. Lui qui n’a jamais rien demandé, d'autre que d’être laissé tranquille. Qu’un énergumène comme toi ait déboulé dans son bureau il y a des années, ça non plus, il n’aurait jamais pu le deviner. Tu es le boulet à son pied, tu l’as toujours su… Alors, qu’attends-tu pour lui foutre la paix ?
Tes doigts traçant lentement la ligne de son visage, tu n’as qu’une envie, c’est qu’il te regarde. Pour une dernière fois, peut-être, avant que tu ne quittes ce bureau une fois pour toutes… Mais malgré les mots d’excuses qui se basculent sur tes lèvres, tu ne peux te convaincre de te retourner, le laisser. L’envie ardente de lui hurler ta peine, remplacée par quelques gouttes salées sur tes joues. Tu n’es pas préparé à ce qui suit, à ses paroles qui résonnent toujours dans tes oreilles, alors qu’il a arrêté de parler depuis belle lurette, fermant les paupières au contact de ses doigts sur ta peau. Prendre soin de toi, alors que toi-même, tu n’y arrives point. As-tu seulement le droit de lui autoriser cela, sachant que la tâche n’est pas sans lots de défis ? Le docteur aurait-il perdu la raison ? Ou alors, tu es sur le point de te réveiller de ce long et interminable songe… Tu en arrives même à te pincer, couinant au passage derrière ce rictus qui, doucement, illumine ton visage. Celui du docteur est d’ailleurs d'une belle couleur cramoisie, suite à ses aveux, cette première fois où il s’est réellement confié à toi. Tu le regretteras, ou pas, mais sans le moindre questionnement, comme si le geste t’était naturel, tu te faufiles sur ses cuisses. Les tiennes reposant de chaque côté de ses hanches, tes doigts le suppliant presque de te regarder, lâchant dans un long murmure “Comment comptez-vous prendre soin de moi, docteur ?”. La tête penchée sur le côté, une feinte innocence valsant derrière ces iris toujours humide. Tu ignores ce que tu fais, mais tu n’as aucune intention de t’arrêter.
METHODE DE RP : J'écris à la seconde personne, je fais environ 500 mots mais je peux faire plus, je fais très peu de fautes, je m'adapte à mon partenaire, je peux écrire en écriture inclusive lorsque la situation s'y prête.
OOTD La situation du moment te pèse. Le voir pleurer comme ça te rend malade. Pourtant tu le sais que tu es fautif parce que tu l'as brisé après tout. Si tu n'avais pas été aussi froussard il ne serait pas dans cet état comme il l'est en ce moment. Et c'est ça le plus difficile pour toi. Parce que tu as conscience que tout est absolument de ta faute même si on s'entend que vous êtes responsables autant l'un que l'autre de ce qu'il vous est arrivé. Et finalement, peut-être bien que cette attirance était trop forte sans la moindre possibilité d'un retour en arrière possible ? Oui peut-être bien. Donc tout n'est pas perdu Sehun. C'est ce qu'il faut réussir à te dire mais c'est malheureusement le plus compliqué parce qu'en ce moment la seule chose à laquelle tu penses c'est qu'il a été ton patient pendant des années et que tu as franchi une barrière, celle du professionnel, que tu n'étais pas censé franchir. Tu culpabilises pour ça d'autant plus que tu sais qu'en plus de ne pas avoir été suffisamment professionnel qu'en plus tu as blessé ton patient préféré.
Mais pour l'heure, le jeune homme vient vers toi et tandis qu'il te fait face tu essuies les larmes qui coulent de ses joues tout en lui disant droit dans les yeux, sans fuir, ce que tu ressens pour lui en te montrant plus familier avec lui que d'habitude. Le jeune homme semble surpris par tout ça et bientôt il vient s'asseoir sur toi à califourchon et tu le laisses faire en laissant tes bras retomber sur les cuisses du jeune homme tandis qu'il te demande de quelle façon tu comptes prendre soin de lui. A ce moment précis, un sourire se dessiné sur tes lèvres. « Comme ça. » Tu le fixes tendrement tout en passant tes mains sur son dos pour l'attirer contre toi tandis que tu viens l'embrasser tendrement. Ça faisait un an que tu n'avais plus osé faire ça. Encore moins avec lui après tout le mal que tu lui as fait. Alors forcément que ton baiser est peu assuré pourtant ta langue trouve l'accès à sa bouche avec facilité et tu commences tout doucement à savourer le baiser en gémissant contre ses lèvres tandis que tes mains se baladent entre son dos et ses fesses jusqu'à carrément agripper son joli petit fessier tandis que tu continues de l'embrasser avec passion.
Kwon SehunUn X est un baiser pour un doux baiser Un O est un câlin en cercle Peut-être que tu sais déjà oh Jour après jour, je t'ai secrètement écrit une lettre Et c'est ce que j'ai écrit à la fin de la lettre Bien que je ne te l'ai jamais donnée ah
Ces larmes que tu ne peux contrôler, toi qui pourtant t’étais fait la promesse de n’en verser aucune. Conscient qu’en passant le cadre de la porte, les plus absurdes des scénarios deviendraient une possibilité, tu as tout de même choisi de te jeter dans la cage du tigre… Mais le regrettes-tu seulement, Hyukie ? Oh, bien sûr, tu connais que trop bien la réponse à cette question, toute rancune quittant ton petit cœur battant lorsque ses doigts effleurent tranquillement tes pommettes humides. Merde… Trop con - ou en ayant tout simplement pas envie - pour écouter la petite voix dans ta tête, ce murmure qui ne cesse de te mettre en garde contre tes propres conneries, tout spécialement lorsqu’il est question du docteur. Ses larmes sont le résultat de ton égoïsme, tu ne peux même pas le nier, toute cette histoire étant en partie de ta faute. Toi qui n’as pas su résister à ta fascination pour le psychiatre, dangereuse attraction qui n’a su t'éloigner bien longtemps. Rien de tout cela n’est irréversible, tu en es bien conscient, jetant inconsciemment de l’huile sur le feu. Cette flamme qu’aurait peut-être mieux fait de rester éteinte, mais bien sûr, alors qu’il t’offre ses sentiments sur un plateau d’argent, tu ne peux te soumettre à écouter la raison.
Ton petit cœur au contrôle… Bientôt, torturé par cette envie folle de combler le peu d’espace qui vous sépare, tu en arrives à te faufiler sur cette chaise où il est toujours confortablement installé. Et comme s’il s'attendait à ce geste venant de ta part - te connaissant mieux que quiconque - alors que tes propres paroles lui arrachent ce sourire qui t’avait tant manqué, tu ne peux dès lors lui résister, tes mains valsant lentement sur ses épaules jusqu’à sa nuque et les siennes guidant vos corps jusqu’à ce que vos lèvres se retrouvent, enfin. Maladroit, impatient… À quand remonte la dernière fois que tu t’es permis tout cela ? Sehun, peut-il seulement se douter qu’il soit le seul, le dernier à l'avoir touché…? À vrai dire, tu ne pourrais pas t’en foutre plus, alors que contre tes lèvres, il gémit et que comme réponse, ton corps s’enflamme. Merde… Qu’est-ce qu’il te fait faire ? “Docteur… Sehun. Donnez m’en plus. J’en veux plus. Prenez-moi ici, sur votre chaise… Votre bureau. Je suis à vous.”- abrégeant le baiser pour y déposer tes lèvres rosées sur son cou, y laissant d’abord une feinte marque et y dessinant ensuite une série de doux baisers, traçant ton chemin jusqu’à ce que vos regards se croisent à nouveau et que le monde qui t’entoure n’est plus d’importance.
METHODE DE RP : J'écris à la seconde personne, je fais environ 500 mots mais je peux faire plus, je fais très peu de fautes, je m'adapte à mon partenaire, je peux écrire en écriture inclusive lorsque la situation s'y prête.
Kwon SehunUn X est un baiser pour un doux baiser Un O est un câlin en cercle Peut-être que tu sais déjà oh Jour après jour, je t'ai secrètement écrit une lettre Et c'est ce que j'ai écrit à la fin de la lettre Bien que je ne te l'ai jamais donnée ah
Tu n’es pas à l’image de l’être facile et docile, Hyukie… Au contraire, tu apportes très souvent le chaos et la confusion dans ton passage. C’est un peu ce que tu as choisi de faire en débarquant avec tes cornes et cette maudite auréole sur la tête après presque un an, dans le bureau du psychiatre, sans le moindre avertissement, ce qui tu avoues, est totalement de ton genre. Tu rêvais de voir sa réaction - de le voir tout court - peu importe laquelle, pour le peu qu’il réagisse. Bercé, voire hanté par le fantasme malsain qu’il puisse regretter de t’avoir brisé le cœur, toi qui l’auras honteusement mérité… Mais chose certaine, tu ne t’étais pas préparé à ce qui s’en suivrait.
METHODE DE RP : J'écris à la seconde personne, je fais environ 500 mots mais je peux faire plus, je fais très peu de fautes, je m'adapte à mon partenaire, je peux écrire en écriture inclusive lorsque la situation s'y prête.
Kwon SehunUn X est un baiser pour un doux baiser Un O est un câlin en cercle Peut-être que tu sais déjà oh Jour après jour, je t'ai secrètement écrit une lettre Et c'est ce que j'ai écrit à la fin de la lettre Bien que je ne te l'ai jamais donnée ah
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